Interview avec Simon Brossard de Lemlist

Interview avec Simon Brossard de Lemlist

Notre CEO, Guillaume Seiler & B2B Outbound Sales Enthusiast chez Lemlist, Simon Brossard se sont réunis pour discuter de l'expérience de Simon dans son recherche d'un appartement à Paris et de son expérience avec Settlesweet.

Guillaume 

Moi, ce qui m’intéresse de savoir, c’est un peu ton contexte.

Qu’est-ce que tu faisais il y a un mois, où tu étais, le point de départ quoi?

Simon 

Pour donner du contexte, en début d’année 2020, cela faisait déjà quatre ans que je vivais à Paris. Depuis presque un an et demi, en janvier 2020, j’avais une agence d’acquisition avec deux associés où on gérait tout à distance. Il y a eu le premier confinement qui m’a fait décider de quitter Paris. Donc, moi, j’ai quitté Paris assez récemment, finalement en début 2020, dans le courant du mois de juin, où je suis retourné dans ma ville natale où je gérais toute mon activité avec mes associés en remote. J’avais une associée qui était restée à Paris, un autre associé à Lyon et moi qui était à Clermont-Ferrand. Donc, tout se gérait entièrement à distance. Sauf que je travaillais sur un sujet qui me passionne, qui est l’acquisition. Je suis tombé sur Lemlist qui est une boite française spécialisée sur cette partie acquisition.

Elle proposait une ouverture de poste sur le marché français pour être le premier business développeur à conquérir et développer ce marché. Donc, j’ai fait un petit calcul d’opportunités entre continuer mon agence, où ça commençait à bien se passer, on avait commencé à monter un peu plus sérieusement en charge, mais où finalement, dans la démarche, je faisais un peu toujours la même chose. Et de l’autre côté de la balance, j’avais l’opportunité de rejoindre Lemlist qui est déjà exceptionnel, et qui va devenir leader dans les années à venir, sur ce sujet très précis de l’automatisation et de l’acquisition. 

Donc j’ai pris la décision assez rapidement d’essayer au moins de postuler pour ne pas avoir de regrets. Et puis après, j’ai eu l’occasion de faire les différents entretiens avec les associés, avec plusieurs membres de l’équipe qui ont fini de me convaincre que c’était la meilleure décision pour ma carrière de rejoindre Lemlist pour passer quelques années, continuer à monter en compétence sur ces sujets-là et pourquoi pas après reprendre mon projet. Mais voilà, j’ai mis de côté mon aventure entrepreneuriale pour rejoindre Lemlist et les aider à conquérir le marché mondial et français spécifiquement pour moi.

Et depuis le 1er septembre, j’ai rejoint l’équipe entièrement en remote depuis Clermont-Ferrand pendant les trois premiers mois. Mais les choses vont très, très vite chez Lemlist, j’ai très vite ressenti le besoin de me rapprocher de mon équipe. Et donc, c’est à partir de fin novembre que je me suis mis dans la recherche de trouver un appartement. Je sais pas si tu veux que je bascule directement sur comment j’ai entendu parler de Settlesweet ?

Guillaume

Oui enchainons sur comment tu as entendu parler de Settlesweet.

Simon

Alors, du coup, vu que je passe pas mal de ma journée à faire du réseau sur Linkedin, je suis tombé sur une vidéo de Jérémy Goillot qui vantait les services de Settlesweet. Je crois que cela doit m’arriver une fois par an de cliquer sur une pub que je voie sur Linkedin.

Mais là, pour le coup, j’étais pile dans la cible, ça m’a forcément beaucoup parlé parce que Jérémy, c’est un peu le même personnage que moi, donc forcément, j’ai été attentif. En plus, je le connaissais un peu. On a déjà fait une formation chez the family il y a quelques années ensemble. C’est là que j’ai laissé mes coordonnées, et que j’ai booké un rendez-vous avec quelqu’un de l’équipe Settlesweet pour deux semaines après. Et voilà, c’est comme ça que j’ai entendu parler de Settlesweet pour la première fois et que j’ai pris rendez-vous.

D’ailleurs, cela a amené un quiproquo assez marrant sur le premier rendez-vous que j’ai eu avec Settlesweet, parce que j’ai des journées qui sont blindées de rendez-vous… Alors j’ai oublié le nom de mon premier interlocuteur chez vous, mais le fait est que j’avais le rendez-vous dans mon planning, que 3 minutes avant mon rendez-vous, je vais checker sur notre back office. Il était en train de faire des Onboarding pour notre nouvelle version. Et donc, ce que je fais en général, c’est que je vais checker pour savoir quel est mon rendez-vous sur le back-office, est-ce que c’est déjà un client ou pas. Donc, je prends l’adresse e-mail Settlesweet, je vais voir sur le back-office.

Je me rends compte que vous êtes client et donc dans ma tête, j’allais faire un onboarding sur la nouvelle version Lemlist, j’avais totalement oublié que j’avais ce rendez-vous. Donc, je commence le rendez-vous en prenant les rênes et en imaginant ce qu’il va se passer pendant le rendez-vous. Je vois mon interlocuteur chez vous qui me regarde avec de grands yeux et qui ne comprenaient pas ce qui se passait, et qui a dû se demander en interne, d’ailleurs elle m’a laissé en attente 2 minutes, et pendant qu’elle était en train de parler à son équipe, moi, j’ai fait « attends, mais est-ce que ce serait pas moi qui dit une connerie ? »

En fait, le quiproquo était que c’était bien moi qui m’était trompé, ca a fait un quiproquo un peu marrant

Guillaume

OK, donc tu disais, tu as pris la décision de revenir à Paris pour te rapprocher de l’équipe. Lemlist, c’est quoi la politique niveau bureaux ?

Simon

Alors jusqu’à septembre de cette année, 80 % de l’équipe était à l’étranger. On a une boite assez internationale par rapport à ça, mais Guillaume, le CEO, a pris la décision de monter et de structurer l’équipe française. Donc, j’ai 3 collègues qui sont arrivés au marketing, et on est 2 business développeur plus une office manager qui sommes arrivés début septembre. Donc, il a pris un bureau au WeWork Lafayette où on est aujourd’hui, et d’où je t’appelle aujourd’hui.

Guillaume

OK, donc ceux qui sont basés en France sont à Paris et viennent au bureau de manière classique

Simon

C’est ça. Pour le coup tu vois, sur la partie française, les marketeux et les sales on vient souvent au bureau. Mais moi, même si je suis à Paris maintenant, il va y avoir en général deux ou trois jours par semaine où je bosserais de chez moi. Par contre, il y a 2 jours, sur les points de l’équipe où je serai au bureau. Par contre, toute l’équipe produit est française, tous nos développeurs sont Français et eux sont tous en remote

On a des développeurs à Montpellier, à Lille, en banlieue parisienne, et qui eux, ne viennent jamais au bureau. Ou vraiment, et une fois tous les 36 du mois. Même en France, on a une partie de l’équipe qui est remote c’est la partie produits. Toute l’équipe marketing / sales, on est à Paris avec Guillaume et toute la partie vidéo aussi, qui a un gros axe chez nous. Après, on a toute la partie growth, marketing, acquisition mondiale et sales mondial qui est située ailleurs dans le monde, notamment en Europe.

Guillaume

D’accord, en Europe de l’Est ?

Simon

Ouais ! On a Serbie, Ukraine, Bosnie et un autre pays. Je crois qu’on a quelqu’un qui est à Malte aussi, mais j’ai un doute.

Guillaume

Génial, génial. Pour revenir sur la partie recherche d’apparts, comment toi tu appréhendais ? C’est quoi ton état d’esprit au moment où tu t’es dit que tu devais te réinstaller à Paris ?

Simon

J’étais pressé sans être pressé, parce qu’intérieurement j’étais très pressé de pouvoir repasser du temps avec l’équipe. J’ai des journées qui durent entre 9 et 10 heures où je passe les trois quarts du temps à discuter avec des gens. Avec le confinement en plus, ça devenait vite des semaines qui passaient en 30 secondes, mais qui étaient quand même assez solitaires.

Donc, j’avais ce besoin-là. Je n’étais pas ultra pressé parce que je savais aussi que je voulais avoir un appartement qui cochait pas mal de critères que je voulais notamment pouvoir amener ma voiture, plus en banlieue proche que dans le cœur de Paris. J’avais quelques critères quand même qui étaient assez excluants.

Mais je l’appréhendais mal parce que je savais que pour faire des visites, c’était hyper compliqué. Se déplacer pendant le confinement, c’était compliqué. Monter à Paris, faire 10 visites dans un Week-end, c’est pas l’idée qui me qui me plaisait le plus. Quand même très rapidement, je pense que j’ai commencé ma recherche une semaine avant d’entendre parler de Settlesweet. Donc, j’ai vite abandonné. Ce que j’ai fait et que je pense a pas mal avancé les choses avec Tony, mon HomeMatcher, c’est que moi, tous les jours, je checkais un ou deux appartements que je mettais en favoris. Dès qu’on a eu la première prise de contact, je lui ai balancé 10 liens avec mon top priorité et je crois que Tony a trouvé le premier appartement que je lui ai mis dans ma liste de priorités. 48 heures après, c’était validé.

Ce qui m’a demandé le plus de temps, finalement, c’était de créer mon dossier. Bah voilà, il fallait des garants, il fallait que je gère deux trois trucs. Une fois que j’avais fait ça, je pense qu’en 3 jours, on m’avait envoyé une réponse positive. En termes de rapidité, c’était assez exceptionnel. Je crois d’ailleurs que Tony me disait que c’était son record en termes de rapidité.

Guillaume

Je me demande si c’est pas même le record de la boite. Je sais qu’on en a fait quelques-uns dans un laps de temps très court, mais c’est potentiellement le plus rapide. Pour toi, quelle a été la valeur ajoutée principale de Settlesweet dans cette démarche ?

Simon

En fait, vous gérez tout. Très concrètement là, j’avais fait les recherches en amont, donc j’ai envoyé des liens à Tony. Autrement, c’est que vous gérez tout. Vous m’avez aidé à créer le dossier. J’ai juste eu a envoyer mes pièces, vous avez donné de la cohérence à tout ça, ce qui fait que quand tu envoies le dossier, je sais très bien qu’il passe devant beaucoup beaucoup de dossiers. Ensuite, clairement, c’est le contact hyper simple avec Tony sur WhatsApp. Tu vois, il n’y a pas de plateforme où j’ai dû passer des heures à aller voir les messages non lus, etc.

Cela a été simple et franchement, c’est la rapidité. Pas besoin d’aller faire les visites, directement avoir des propositions qui sont envoyées par WhatsApp et Tony qui me prévenaient hyper rapidement. Franchement sur le fonctionnement, cela a été assez exceptionnel comme expérience. Si tu mets dans la balance une recherche d’appartement que les gens vont faire d’habitude sur Paris, et une recherche avec Settlesweet, je pense qu’il n’y a même pas de questions à poser.

Et puis c’est gratuit. Pour moi, c’est gratuit. Vous, vous êtes rémunéré après avec la subvention d’Action Logement, mais ça, j’en entends même pas parler et je n’ai rien à faire. La prise de décision, elle a été totalement dérisquée pour moi et c’est la raison pour laquelle vous m’avez closé directement. Dès le premier call, à la fin du call, je n’ai pas réfléchi plus que 10 minutes pour avancer ensemble.

Merci encore une fois à Simon Brossard pour son interview, c'était un plaisir de vous accompagner avec votre recherche.

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